dimanche 6 mars 2011

la journée internationale de la femme pour aller des dicours aux actes

le 8 mars s'approche à grand pas et les préparatifs vont bon train dans les chaumières,les pagne est au centre de toutes les discussions,le défilé dans la tête de toutes les femmes,fidèle à ses habitudes,la ministère de la condition féminine qu'on ne voit que dans de telles occasion multiplie les initiatives, les reflexions les tables rondes pas tout à fait rondes et une fois le 8 mars assé,chacun rentrera chez lui,la femme camerounaise replongera dans on quotidien fait de frustrations,d'harcèlement,de violence,de discrimination et de sévices.
on a beau l'annoncer dans tous les discours officiels et les statistiques assez incongrues d'ailleurs,la situation de la femme camerounaise n'est as aussi reluisante que ça,coent comprendre qu'un pays qui parle d'égalité entre l'homme et la femme tolére la polygamie,n'ai pas une loi clairement contraignante sur le harcélement sexuel n'ai pas une politique d'émancipation clairement définie.Certains arguerons que la création d'un ministère dédié à la femme est une avancée,rien n'est moins sùr.Car cette discrimination n'est nulle part lus visible qu'au gouvernement,aucune femme ne detient un portefeuille de souveraineté,manque t'il des femmes capables d'être ministre de la défense?des finances?de la santé?premier ministre ou sécrétaire général à la présidence.
les femmes n'ont qu'un role de faire valoir et c'est écrit noir sur blanc dans les textes et lois de notre pays,un homme peut avoir lus d'une femme mais aucune femme ne peut avoir plus d'un mari,la notion d'adultère de la femme est différente de cellede l'adultère d'un homme.
 Les femmes dans notre pays représente plus de 50% de la population mais ne représente qu'une quantité négligeable pour ce qui est de la prise de décision,élève tous les enfants et gèrent les foyers  mais n'ont rien à dire sur la gestion  du pays:les intégrer est dont une nécéssité tant économique que social,d'où la nécéssité de sortir des tables rondes et fora stériles et prendre des actes concrets.